Volunteer Research Entries

By Christelle Exantus

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Il est maintenant plus évident que jamais de prendre conscience des problèmes dus aux changements climatiques. Dans cet écrit, nous allons aborder les déplacements reliés aux catastrophes naturelles. D'ordinaire, on a tendance de catégoriser les raisons causant les gens a cherché refuge dans un autre pays. Le changement climatique se voit comme un des faits, mais, moins importants malheureusement. Même les États essaient de le justifier de la sorte. Et la raison pour laquelle c'est que selon les Nations Unies , une personne considérer réfugié "est une personne qui se trouve hors de son pays d'origine en raison d'une crainte de persécution, de conflit, de violence ou d'autres circonstances qui ont gravement bouleversé l'ordre public et qui , de ce fait, a besoin d'une "protection internationale" (Nations-Unies). Pour répondre aux critères des exigences de statut de réfugié, le demandeur doit prouver qu’il craint avec raison d’être persécuté en raison de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un groupe social particulier ou de ses opinions politiques. Vous voyez, les catastrophes naturelles ne sont pas une raison suffisante pour avoir ce titre. En 1997, l'ile de Tuvalu, Tepuka Savilivili, a disparu dans la mer. La sévérité du réchauffement climatique et l'élévation qui peut correspondre du niveau de la mer (Moberg, 2009). À cause de ces turbulences climatiques, les scientifiques ont prédit que les neuf autres iles Tuvalu restantes n'existeront plus dans les avenirs futurs, durant les cinquante prochaines années, ce qui qualifiera les Tuvaluans gravement affecté ou disparu complètement par le réchauffement climatique (Moberg, 2009). Le gouvernement de Tuvalu à essayer de trouver un accord avec les autorités de la Nouvelle-Zélande et l'Australie, mais cela a été sans succès au cas d’une urgence. C'est extrêmement urgent et il faut vraiment penser à une résolution aux crises des changements climatiques qui force les gens de quitter leur pays (Moberg, 2009). Le déclin environnemental est aussi urgent que les crises et les guerres. Il faut que les États réalisent le danger et les conséquences face à cette négligence. Les inondations, tremblements de terre, ouragans, sont de plus fréquents. Les pays plus avancés sont plus capables de répondre aux sinistres au cas de catastrophes naturelles, ce qui est différent pour les pays moins prospères. À titre d'exemple, aux États unis, avec l'ouragan Katrina, les victimes ont eu la possibilité de se relocaliser dans les états avoisinants (Moberg, 2009). Cependant, il n’y'a toujours pas d' instruments internationaux et régionaux relatifs aux droits des réfugiés en vue d'aborder spécifiquement au chagrin et au désarroi de ces populations déplacées. La communauté humaine fait face à un grand défi. Les catastrophes naturelles et le changement climatique ne sont plus une question d'intérêt personnel, mais qui nous concerne tous. Trouver une solution n'est pas seulement pour alléger la question des migrants environnementaux, mais aussi d'éviter que d'autres crises comme le manque de nourriture, d'eau et éviter une crise sanitaire d'ordre mondiale.

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Références:

https://www.un.org/fr/global-issues/refugees

Moberg, Kara K. “Extending Refugee Definitions to Cover Environmentally Displaced Persons Displaces Necessary Protection.” Iowa Law Review, vol. 94, no. 3, 2009, p. 1107–.